80 - les cycles

Publié le 22 novembre 2007 par Claude Louis

LES CYCLES de la MANIFESTATION

Comprendre les CYCLES est fondamental

Dans la manifestation tout est cycle !

Les créations obéissent à la loi des cycles dont l’anatomie est : début... continuité... fin. Exemple : un corps naît... survit un certain temps... et meurt.

Il existe de nombreux cycles à l’intérieur d’autres cycles. Tout ce qui naît (qui a un début), a une durée et une fin (meurt). Savoir terminer ses cycles redonne puissance et liberté. Tout problème d’un être humain provient de cycle ancine non terminé.

Terminer ses cycles restaure sa propre puissance à Être... Faire... Avoir.

Ne pas voir cela... c’est se faire... avoir !

L’existence des réalités a un début, dure un certain temps et prend fin. Nous appelons cela un cycle d’existence.

Pour commencer un cycle, il faut que l’Être (Vous) émette une intention plus un concept pour concevoir la réalité qui va être créée. “je souhaite aller manger au restaurant” par exemple ou “je souhaite être riche”.

Émettre une intention équivaut à dépenser des unités de Vie. Les intentions sont l'équivalent de notre argent ou de notre or qui nous sert à survivre. Sans argent dans nos sociétés modernes, nous ne pouvons pas survivre.

Sans unité d’attention et d’intention, nous ne pouvons pas créer et expérimenter notre existence, en conscience. L'attention est notre or spirituel.

Quand nous avons émis des intention pour commencer des cycles, nous en avons moins (on ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre... En même temps !). Pour récupérer son capital « d’unités d’intention », qui est l’équivalent de l’argent du compte en banque dans le monde physique, il s’agit de terminer son cycle. Cela veut dire réaliser son intention… ou y renoncer.

Vous récupérez son intention plus un bonus vous devez avoir terminé votre cycle (finir sa tâche). La solution est de terminer votre cycle rapidement ou tout simplement de décider de l’arrêter… ne perdez pas votre existence à continuer à tenter de terminer des cycles d’action… que vous ne terminerez jamais !

Rêvez, mais soyez réalistes afin de réaliser vos rêves.

Les concepts désir/résistance et plaisir/souffrance ont été nos guides bien avant que nous soyons arrivés à l’auto-conscience (voyez les animaux).

Pour vous aider à y voir clair dans tous vos cycles, parfois assez « invisibles », demandez vous : « est-ce que j’ai du désir et du plaisir à mettre mon attention sur certaines expériences et passer à l’action dans le but d’avoir... ce que je souhaite avoir ? ».

Ou « est-ce que j’ai de la résistance et de la douleur à mettre mon attention et mon énergie sur certaines expériences et passer à l’action dans le but d’avoir... ce que je souhaite avoir ? »

Si vous avez du plaisir, votre intention devait être de “bonne survie”. Si vous avez de la résistance, c’était peut-être une intention de contre survie, une intention venant des autres ou de la conscience collective du genre : “tu dois réussir, tu dois avoir une belle voiture, tu dois avoir une liberté financière...” . A vouloir réaliser les intentions des autres, nous en perdons notre vie !

Clarifier ses intentions est essentiel pour une existence épanouie.

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QUESTIONS – RÉPONSES

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Edith de Lunéville.

Je lis tes bulletins il est question de la souffrance. Rien que d'entendre ce MOT réveille en moi des MAUX. Des émotions montent en moi, je les ressens si je mets mon attention, j'ai mal, j'ai peur, il y a même le mot mort qui me vient. C'est fort en émotions, j'expérimente – souffrance - je souffre donc je suis vivante, ensuite vient le mot “voit c'est réel”. Je prends conscience, cette souffrance colle à mon être. Je suis identifiée à la souffrance, il me faut sortir de cette création dont je suis effet, redevenir cause créer une intention par exemple bonheur, joie, sérénité mais est-ce aussi simple????

Claude : Le mot n’est pas la chose, le mot souffrance n’est pas la souffrance. Mais avec les mots, comme tu le dis, nous nous créons ou revivifions des maux. Ah, quelle performance ! Avec trois riens (trois ou quatre mots), nous arrivons à nous faire souffrir mille souffrances sans même avoir à faire appel au bourreau !!!

Où est le bourreau qui nous a fait souffrir ?
Parfois il est mort et enterré depuis longtemps et nous souffrons encore !!!

Et comment arrêter cela ?

Et bien tu peux créer joie, bonheur, paix, amour... Toutes les créations positives que tu souhaites, mais il te faut arriver à conscientiser que tu es assise sur un tas de fumier qui se nomme “souffrance”. Alors soit tu le comprends et en tires partie, soit tu vas être engloutie pas ce tas fumier.

Sais-tu que les plus belles roses poussent sur du fumier ? Alors, deviens une jardinière de l’esprit, étudie comment jardiner, comprends comment faire de ton existence un jardin de roses, et fais le.

La voie de sortie de la souffrance est la connaissance et les aptitudes pour mettre en pratique cette connaissance et non pas l’ignorer. Peux-tu donner une partie de ton existence pour régler définitivement ces souffrances ?

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CLAUDE MONTPELLIER

A propos de la mission de vie, vous dites qu’une grande majorité des gens ne l’accomplissent pas. Pour ma part, pour savoir si je suis bien en train de vivre ma mission, je me suis inventé une baguette magique et je me pose la question “ baguette magique, puisque avec toi tout est possible et sans limites, qu’est ce que j’aimerais vraiment faire ou vivre maintenant… ? “

Si la réponse est que je n’ai rien envie de changer à ma vie, c’est que je me sens accordé à ce que je vis et qu’en fait je suis bien dans mes baskets et que tout va bien… Sinon, et bien je corrige la direction et c’est là que ce n’est pas toujours facile à réaliser…

Questions :
Que pensez vous de mon “outil“… ?
Avons-nous réellement une mission de vie prédéterminée… ? ou bien est ce à nous de la créer... ?
Si elle est prédéterminée (ce que je ne croie pas du tout), par qui ou quoi l’est elle… ?

Claude : l’outil est EXCELLENT. Bravo.

Il est possible que nous n’ayons pas une mision de vie mais des dizaines ou même des centaines pour ne pas dire des milliers de missions de vie prédéterminées, qui dans l’ensemble sont des fausses missions. Ces missions sont en majorité déterminées par notre environnement (famille, amis, société...) et aussi en grande partie par le réseau des incidents traumatiques qui nous conditionne à faire ce qu’il faut pour résoudre notre “karma”.

Je n’ai pas le temps de parler d’un procédé spécial, “le désempilement” qui se trouve vers la fin du programme général et qui s’occupe principalement des faux buts, des fausses missions de vie de l'Etre lui même (et non pas des identités comme Claude, Paul ou Jacques) sur sa piste de temps personnel. Mais certainement j’en parlerai plus tard sur le site.